Alexander I. Whitaker

"TA QUOTE DE FIFOU QUI DÉCHIRE TOUT"

Ma vie était parfaite. Une famille parfaite, une maison parfaite, des amis parfaits. Et la... Tout s'écroule. Ma mère, mon héroine, n'est plus... emportée par une maladie lorsque j'étais jeune. Plus tard, j'ai entrepris des études afin de devenir médecin. J'excelle dans mes études et je serai diplôme sous peu. C'est la que j'ai fait sa rencontre. Émilie. Cette femme, je l'avais dans la peau. Au premier regard, j'ai sue que c'était la femme de ma vie. Coup de foudre? En quelque sortes. Ni une ni deux, je l'abordai et nous avons commencé a nous fréquenter. Tout était si... normal, comme si le fait d'être ensemble était une évidence. Nous nous sommes mis à chercher un appartement. On emménagea rapidement. La routine c'était installé. Elle allait à ses cours, j'allais aux miens. Tout était coordonné et nous nous entendions à la perfection. Si ce n'est que se 28 décembre, vers les 23h45, je serais surement encore avec elle. Que c'est-il passé cette journée-la me demanderez-vous? C'est cette journée que mon cœur s'est cassé. Symboliquement parlant, pour bien préciser, puisque, théoriquement, un cœur est incassable. Il peut s'arrêter, il peut être électrocuté par une surdose d'électricité, il peut simplement ralentir ou accélérer. Mais pas se casser. Hors, le mien le fit. Il le fit lorsque je vit Émilie, assise dans le lit. Pour le moment, il n'y a aucune raison qu'il se brise. En effet. Cependant, c'est de voir l'autre, sous elle, qui produisit cette réaction purement émotionnelle. Je me rappelle être entré dans la chambre, avoir repoussé la femme que j'avais aimé, avoir empoigné assez solidement l'autre et de le trainer hors de chez moi. Bien sur, Émilie hurlait, me disait de le lâcher. J'étais comme fou, les yeux qui voulaient sortir de mon crâne. Le pauvre imbécile se retrouva dehors, nu comme un vers. Il y eut un silence, la femme qui avait été mon amour et amante me regardait, effrayée, un simple drap la recouvrant. Un silence malaisant. Malsain. Chargé d'intensité. Je me dirigeai vers la chambre, ne regardant pas le lit, fit mes bagages. Elle me laissa faire. Sans un dernier regard, je quittai cet appartement qui avait été mon sanctuaire. J'avais 25 ans.

Aujourd'hui, j' ai 29 ans. J'ai arrêté mes études il y a de cela 4 ans puisque je suis retourné au ranch familial afin d'aider mon père. Il ne veut pas l'admettre mais il ne parvient plus à tout gérer comme avant. Par chance que ma petite soeur est la pour l'épauler, car il y aurait longtemps que le ranch aurait été vendu. Malgré ma passion pour la médecine, la famille passe avant tout. Je dois veiller sur le ranch.